Quand on aime, on compte...
C'est vraissemblablement ce qu'ont fait ces parents de Buenos-Aires pour que leur famille s'enrichit — un an pile poil après la disparition oh combien pleurée de leur idôle, le footballeur Maradona — d'un petit Diego. La preuve en est qu'une césarienne est venue remédier aux hazards du calendrier ! Le nourisson ne sera pas le seul à perpétuer au sein du foyer le souvenir du Messi de l'époque : il y a été accueilli par des jumelles d'une dixaine d'années, Mara et Dona, hommages vivants au doublet infligé aux anglais, au cours du quart-de-finale du Mondial 1986. L'anecdotte prête à sourire, mais ne vaut-il pas mieux crier sa passion du football ainsi plutôt qu'en balancant des canettes sur les joueurs d'en-face ?
vraisemblablement
Buenos Aires (sans trait d'union)
s'enrichît (après la locution de but pour que et le passé composé de la proposition principale, il ne pouvait s'agir que d'un imparfait du subjonctif, d'où l'accent circonflexe)
pile-poil (avec un trait d'union)
ô combien pleurée
idole (pas d'accent circonflexe)
hasards
nourrisson
dizaine
doublé (dans ce sens, du moins)
Anglais (s'agissant ici des habitants, la majuscule est requise)
quart de finale (sans traits d'union)
anecdote
balançant (n'oublions pas la cédille !)
d'en face (pas de trait d'union)